Votre bien peut se vendre plus vite que vous ne le pensez !

Vous hésitez à mettre en vente votre bien immobilier ? Vous craignez qu’il ne reste longtemps sur le marché ? Détrompez-vous ! Aujourd’hui, plusieurs facteurs jouent en faveur des vendeurs, et votre bien pourrait se vendre bien plus rapidement que vous ne l’imaginez.

Que vous possédiez un appartement ou une maison, la situation actuelle est très favorable pour lancer votre projet de vente.

Voici les principaux éléments qui expliquent pourquoi vous avez toutes les raisons d'espérer une transaction rapide, sous réserve de proposer un prix cohérent avec le marché actuel.

Un marché immobilier dynamique avec une forte demande

Le marché immobilier connaît actuellement une demande soutenue, notamment dans certaines zones attractives comme l’Île-de-France, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux, etc.

Après deux années où le nombre de transactions en France s’est effondré de près de 40 %, le nombre de personnes en attente de mobilité est désormais très important.

C’est ce qui explique que certaines villes voient, depuis le début de l’année, leur délai de vente moyen baisser. C’est le cas notamment de Nice (96 jours → 86 jours), Marseille (76 jours → 74 jours), Toulouse (74 jours → 67 jours), Paris (82 jours → 76 jours) ou encore Perpignan (82 jours → 73 jours).

Le délai de vente moyen dépend toutefois largement du prix auquel les propriétaires mettent en vente leur bien. Chez imkiz, le délai moyen de vente d’un bien immobilier, dont le prix est dans une fourchette de plus ou moins 2 % autour de l’estimation réalisée, est de 31 jours.

Des acquéreurs de plus en plus réactifs

Les acheteurs d’aujourd’hui sont très bien informés et plus réactifs. Beaucoup d’entre eux étant en recherche depuis plusieurs mois, ils ont déjà un projet bien défini et un financement prêt à être débloqué. Ils sont clairement à l’affût, et les offres d’achat peuvent arriver bien plus rapidement que prévu après la mise en ligne de votre annonce.

Certains acheteurs, confrontés à une forte concurrence, n’hésitent pas à faire des offres au prix demandé pour éviter de voir le bien leur échapper, notamment lorsqu’ils recherchent depuis longtemps.

Des taux d’intérêt qui poursuivent leur baisse

Après un point haut de 4,2 % en décembre 2023, les taux d’intérêt n’ont cessé de baisser pour se situer autour de 3,2 % fin février 2025, et même 3 % pour un bon dossier, selon un courtier comme Pretto.

Au-delà de la baisse des taux, les banques sont clairement revenues sur le marché immobilier et facilitent l’octroi de crédits.

De la même façon que la hausse des taux d’intérêt a freiné le marché immobilier en 2023 et 2024, la baisse observée depuis plus d’un an constitue l’un des moteurs de la reprise, sous réserve d’une stabilité des prix.

Dans les villes où les prix ont le plus baissé ces dernières années, le pouvoir d’achat immobilier est revenu à son niveau d’avant la crise. C’est notamment le cas de Paris, qui a retrouvé son pouvoir d’achat de 2019, ainsi que de Lyon.

Si l’on compare le nombre de prêts accordés au dernier trimestre par rapport à un an plus tôt, il a augmenté de 19 %, confirmant ainsi la reprise du marché observée depuis quelques mois.

Des prix de l’immobilier revenus à des niveaux plus raisonnables

L’effondrement du marché immobilier au cours des deux dernières années s’explique par un double effet :

• une hausse importante des taux d’intérêt, passés de moins de 1 % à 3,2 %, avec un point haut de 4,25 % ;
• des prix au m² qui étaient devenus très élevés.

Depuis deux ans, dans la plupart des grandes villes, les prix ont baissé, redonnant ainsi de l’air aux acquéreurs. C’est notamment le cas à Paris (-6,8 %), Lyon (-10,8 %), Nantes (-13,1 %), Bordeaux (-7,7 %) et Lille (-6,6 %).

Aujourd’hui, avec des taux plus bas et des prix en recul, tous les ingrédients sont réunis pour permettre au marché de redémarrer.

Si vous envisagez de vendre, n’attendez pas trop longtemps. Le marché actuel vous est favorable, et toutes les conditions sont réunies pour que votre bien trouve rapidement un acquéreur.

Les prévisions du marché annoncent un redémarrage avec entre 875 000 et 900 000 transactions en 2025, contre 770 000 en 2024.

Alors, dans ce contexte, pourquoi hésiter à franchir le pas ?